“Lejanía – Bolero de Oro 2025 | Un canto al amor en la distancia”


Boléro d'or 2025

I
Je pense à toi dans la nuit silencieuse,
ma lune sait prononcer ton nom.
Ton rire repose sur mon oreiller,
ton absence revient m’enlacer.
Je marche sur le même sentier,
ton ombre vient me chercher.
Même si des étoiles nous séparent,
mon amour ne veut pas s’éloigner.

Refrain
Si loin, si mien,
battement sans fin.
Le monde est témoin
de ce qui vit en moi.
Même si la distance
ne veut pas céder,
ma poitrine t’appelle,
elle ne cesse de brûler.

II
Les lettres qui jamais ne s’effacent
parfument mon vieux recoin,
tes yeux me regardent et je pleure.
Derrière cette cruelle séparation
le soir s’habille de pluie,
ma voix ne te laisse pas partir.
Et j’attends qu’un jour la brume
t’apporte de nouveau jusqu’à moi.

Refrain
Si loin, si mien,
battement sans fin.
Le monde est témoin
de ce qui vit en moi.
Même si la distance
ne veut pas céder,
ma poitrine t’appelle,
elle ne cesse de brûler.

III
Ni la mer, ni la nuit,
ni le temps, ni Dieu
ne pourront éteindre
ta chaleur immense.

Si loin, si miens,
battements sans fin.
Même si tu es distante,
tu restes auprès de moi.

Coda
La vie nous unit,
je le sais sans crainte.
Mon amour ne connaît
ni distances
ni hier.

 

 

Bolero de oro 2025

I
Te pienso en la noche callada,
mi luna te sabe nombrar.
Tu risa descansa en mi almohada,
tu ausencia me vuelve a abrazar.
Camino en la misma vereda,
tu sombra me viene a buscar.
Aunque entre los dos haya estrellas,
mi amor no se quiere alejar.

Estribillo
Tan lejos, tan mío,
latido sin fin.
El mundo es testigo
de lo que hay en mí.
Aunque la distancia
no quiera ceder,
mi pecho te llama,
no deja de arder.

II

Las cartas que nunca se borran
perfuman mi viejo rincón,
tus ojos me miran y llorar.
Detrás de esta cruel separación
La tarde se viste de lluvia,
mi voz no te deja partir.
Y espero que un día la bruma
te traigo de nuevo hasta mi

Estribillo
Tan lejos, tan míos,
latido sin fin.
El mundo es testigo
de lo que hay en mí.
Aunque la distancia
no quiera ceder,
mi pecho te llama,
no deja de arder.

III
Ni el mar, ni la noche,
ni el tiempo, ni Dios
podrán apagarme
tu inmenso calor.


Tan lejos, tan míos,
latidos sin fin.
Aunque estés distante,
sigues junto a mí.

Coda
La vida nos une,
lo sé sin temer.
Mi amor no conoce
distancias
ni ayer.