Leçon 52 du livre "Espagnol débutant"
- page 222 : texte à lire et à traduire
- page 224 grammaire: les interrogatifs
1- Je veux savoir ce qui s'est passé hier.
2- Demande-lui qui est son professeur.
3- Dis-moi où tu as laissé les clés.
5-J’aimerais savoir quand tu reviens.
6-Je ne comprends pas pourquoi il/elle s’est fâché(e). (enojarse=se fâcher je suis fâché(e)=estoy enojado/a))
7- Explique-moi comment tu l’as fait.
8-Je ne sais pas lequel choisir.
9-Je ne sais pas combien d’invités(invité=invitado) il y aura.
10-conjuguer les verbes: hacer au p.simple;haber au futur; ir=aller au subjonctif présent
Je vis dans une ville
Où les gens utilisent encore de la brillantine
Où les gens vont au bureau
Sans une minute de plus
Je vis dans une ville
Où la précipitation du quotidien
Ressemble à un film de Charlie Chaplin
Mais sans comédie
Je vis dans une ville
Qui a un port à sa porte
Et une expression bouche bée
Face à la nouveauté
Et pourtant, moi, j’aime ce peuple
Si distant entre eux, si seul
Parce que je ne suis rien d’autre que l’un d’eux
Sans la brillantine, sans le bureau
Avec l’envie de tout changer
J’adore ma ville
Même si ses habitants ne me comprennent pas
Quand ils condamnent mon apparence et mon style
D’une insulte au passage
J’adore ma ville
Quand les filles, avec leur minijupe
Semblent tourner le dos avec magie
Aux inhibitions populaires
J’adore ma ville
Même si elle m’accuse d’être folle et ringarde
Même si je dois cacher mes cheveux de force
Chez un coiffeur réglementé
Et pourtant, moi, j’aime ce peuple
Parce qu’il m’incite à la rébellion
Et parce qu’il me donne un désir infini
De leur répondre et de leur chanter
Ma nouveauté, ma nouveauté
Cette chanson, écrite par Fito Páez, exprime un mélange d’amour et de frustration envers une ville qui semble à la fois figée dans le passé et résistante au changement.
Yo vivo en una ciudad Donde la gente aún usa gomina Donde la gente se va a la oficina Sin un minuto de más
Yo vivo en una ciudad Donde la prisa del diario trajín Parece un film de Carlitos Chaplin Aunque sin comicidad
Yo vivo en una ciudad Que tiene un puerto en la puerta Y una expresión boquiabierta Para lo que es novedad
Y sin embargo, yo, quiero a ese pueblo Tan distanciado entre sí, tan solo Porque no soy más que alguno de ellos Sin la gomina, sin la oficina Con ganas de renovar
Yo adoro a mi ciudad Aunque su gente no me corresponda Cuando condena mi aspecto y mis hondas Con un insulto al pasar
Yo adoro a mi ciudad Aunque me acuse de loca y de mersa Aunque guardaré mi pelo a la fuerza En un coiffeur seccional